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Simulation Loi Pinel : Réaliser une simulation d'investissement dans l'immobilier locatif neuf

18/01/2016 13:59


Avant de se décider à investir dans les biens immobiliers en Loi Pinel, il est important de savoir comment réaliser sa simulation. Cela permettra de connaitre la rentabilité de son bien immobilier et de calculer l’économie d’impôt annuelle et les montants qu’il sera possible d’épargner.


Comment réaliser une simulation en Loi Pinel ?


Il est possible de se servir du simulateur disponible sur le site. Quelques informations comme la situation familiale, l’année de livraison du bien acquis, la surface utile du bien immobilier, la zone Pinel de l’investissement, la durée de détention prévue, les frais d’acquisition et les autres revenus fonciers du foyer.


La première chose qu’il est important de savoir est le montant de remboursement des mensualités de prêt en Loi Pinel. Ils comprennent le remboursement du capital ainsi que les intérêts d’emprunt. Cependant, il est possible de reporter le remboursement mensuel pendant la durée de la construction du logement, mais il faudra ensuite rembourser des intérêts intercalaires. La personne peut ensuite commencer à calculer le montant du loyer.

 

Mais avant de fixer le montant du loyer, il est important de bien se renseigner, car le montant du loyer en Loi Pinel est défini en fonction de la valeur des biens sur le marché. Il est aussi important de savoir qu’un taux de réduction d’impôt d’un pourcent est applicable pendant la première année et cela durera jusqu’à la neuvième année. À partir de la neuvième année, une option de prolongation de contrat donnera le droit de bénéficier d’une réduction supplémentaire d’un pour cent de plus.

 


Les frais pour le logement locatif


Le but principal de la personne souhaitant acheter un logement sous la loi Pinel soit la location de celui-ci, cependant des frais devront être déboursés afin de pouvoir entrer en possession du bien immobilier. Il faut prendre en considération que le propriétaire ne sera pas la personne qui sera responsable de la location du logement, il faudra bien évidemment se tourner vers une agence de location et il faudra régler les frais de la société pour la gestion de son logement. Il faut aussi penser à se protéger en prenant une assurance locative. Cela sera particulièrement utile dans le cas où le locataire ne règle pas son loyer.

 

Il faut aussi penser aux frais de notaire au moment de faire l’acquisition d’un logement sous la Loi Pinel. En général, un pourcentage de 2% sur le montant de l’investissement est demandé. Après cela, il faut aussi penser au frais d’emprunt lié à l’incapacité de remboursement de son prêt bancaire et à la taxe foncière.  La simulation Loi Pinel est importante, car elle permettra à la personne de bien prendre en compte les frais qui devront être additionnés pour pouvoir bénéficier d’un profit au moment de calculer le loyer d’un logement locatif.

loi pinel

L’assurance propriétaire non occupant pour une meilleure protection de l’immobilier locatif

21/01/2015 21:03

L’assurance propriétaire non occupant désigne un contrat d’assurance qui permet à un propriétaire d’assurer complètement les biens qu’il n’occupe pas. Il faut en effet savoir que l'assurance du locataire ne suffit pas toujours à couvrir tous les risques du propriétaire. Qu’il s’agisse d’une maison ou d’un appartement en location, il est donc préférable pour un propriétaire de souscrire une assurance propriétaire non occupant afin de compléter efficacement et à moindre coût la protection de son ou ses logements.

Protéger ses biens immobiliers locatifs via l’assurance propriétaire non occupant

L’assurance propriétaire non occupant protège contre tous les sinistres non couverts par l’assurance de la copropriété ou celle souscrite par le locataire. Elle se charge de couvrir les dégâts aux installations et équipements présents dans l’habitation en location, en l’absence d’un locataire responsable.

L’assurance propriétaire non occupant garantit une couverture semblable à une assurance multirisque habitation standard. Elle permet non seulement au propriétaire de protéger ses biens immobiliers mis en location en cas de sinistre provocant des dommages, mais également de couvrir sa responsabilité civile vis-à-vis des tiers (voisins, locataires...) en cas de sinistre causé par un vice de construction ou d’entretien.

En clair, l’assurance propriétaire non occupant se charge de :

  • La prise en charge financière des sinistres,
  • La reconstruction des biens,
  • La prise en compte des aménagements,
  • Le remboursement ainsi que la prise en charge des loyers perdus.

 

Les avantages de souscrire un contrat d’assurance propriétaire non occupant

L’assurance propriétaire non occupant présente de nombreux avantages intéressants.

  • En premier lieu, elle permet d’assurer ses biens mis en location ;
  • Ensuite, elle contribue à renforcer la responsabilité civile en cas de dommages causé à un tiers ;
  • Ce type d’assurance permet également de profiter d’un accompagnement dans la gestion locative de son investissement. A savoir : une protection juridique, la prise en charge des mensualités de l’emprunt, des aléas locatifs…

 

Souscrire un contrat d’assurance propriétaire non occupant permet ainsi au propriétaire d’un ou de plusieurs biens immobiliers de garantir ses investissements locatifs contre les sinistres matériels et les pertes de loyers qui en découlent.

Les garanties et les assurances pour les travaux de réhabilitation ou la construction

10/05/2013 16:47

 

Lors de l'achèvement d'une construction ou d'une rénovation, le professionnel qui s'est chargé des tâches doit garantir la qualité de ses œuvres. En plus, le propriétaire doit souscrire une assurance lui permettant de se prémunir contre les défauts de fabrication.

Les différentes garanties émanant du professionnel

L'entreprise qui a réalisé les travaux en vertu de la garantie du parfait achèvement est tenue de réparer les imperfections constatées lors de la rédaction du compte rendu de la visite effectuée par le propriétaire avant la remise des clés de l'appartement.
 
Ces malfaçons peuvent aussi faire leur apparition au cours des douze mois suivant la réception du bien immobilier. Le professionnel doit par ailleurs s'assurer du bon fonctionnement des installations, et ce, pour une période de vingt-quatre mois.
 
Cette garantie couvre tous les équipements présentant une défaillance ou une de leurs composantes susceptibles d'être remplacées sans causer un dommage au niveau du bâti.
 

L'entreprise garantit la solidité du bâtiment

Le professionnel est également tenu de se porter garant de la solidité du bâtiment qu'il livre à son client. Ainsi, pendant une période de dix ans, l'entreprise qui a construit l'immeuble s'engage dans le cadre de l'assurance décennale à entreprendre des réparations pour les dommages pouvant mettre en cause la construction elle-même ou susceptibles de rendre cette dernière inhabitable.
 
Cette couverture concerne particulièrement les gros œuvres. Dans le cadre d'un projet de rénovation, cette garantie s'applique également sur les systèmes de climatisation, le ravalement ou le carrelage.
 

La loi instaure une assurance dommages

Pour permettre au propriétaire de mieux se couvrir, l'administration exige que celui-ci souscrire une assurance appelée dommages ouvrage. Cette couverture concerne les défauts de fabrication pris en charge dans le cadre de l'assurance décennale.
 
Les occupants de la maison percevront alors une indemnité leur permettant de réparer les malfaçons compromettant la solidité du bâti en attendant la détermination de la part de responsabilité de l'entreprise ayant réalisé les travaux.
 
Par ailleurs, il faut noter que le professionnel chargé des travaux de construction ou de réhabilitation doit aussi souscrire une assurance lui permettant de couvrir la garantie décennale.        

Réussir son investissement immobilier

05/02/2013 12:10

 

C’est la crise ! Investir dans la pierre vous attire. Toutefois, comment être sûr de réussir son investissement immobilier ? C’est difficile mais il existe quelques clés pour ne pas se tromper.

Tout d’abord, vous devez vous demander où investir. Cette localisation est importante et doit être appréhendée de trois points de vue différents. Vous devez tout d’abord choisir une ville et un quartier ou le rapport locatif est supérieur à 4 %. Ensuite, vous devez vous intéresser aux dispositifs fiscaux d’aide à l’investissement (le dispositif Duflot remplace la loi Scellier). Enfin, il est préférable de privilégier un bien proche de votre domicile, afin de garder un œil sur votre placement, voire de le gérer.

Ensuite, vous devez vous demander quel type de bien acheter. Dans le neuf, vous pourrez bénéficier de dispositifs fiscaux intéressants et de résidences aux prestations haut de gamme. Prenez toutefois garde à bien choisir le promoteur immobilier et votre programme.

Dans l’ancien, vous aurez en revanche la possibilité de trouver un bien moins cher et souvent mieux situé. En revanche, vous devrez faire face à la vétusté de l’appartement et des parties communes. Réfléchissez ensuite à la surface à privilégier. Votre budget peut certes vous limiter mais, si ce n’est pas le cas, sachez que les petites surfaces se louent plus facilement mais souffrent de carences locatives. Les grandes, en revanche, trouvent plus difficilement preneur mais offrent la possibilité d’installer les locataires durablement.

Pour finir, posez-vous des questions sur l’administration du bien. Tout d’abord, achetez-vous seul ou en SCI ? La première solution offre des facilités de gestion alors que la deuxième, plus contraignante, vous permet néanmoins de transmettre un patrimoine dans de meilleures conditions.
Pareillement, demandez-vous si vous confiez l’administration de l’appartement à une agence ou si vous vous en occupez vous-même. Optez pour la première solution si le rendement locatif est bon, que vous avez peu de temps et que vous habitez loin du bien immobilier.  

Avec ces quelques clés, vous devriez pouvoir réussir votre investissement immobilier. Vous pouvez en outre obtenir des conseils personnalisés en vous adressant à votre banquier et votre notaire ou en complétant le formulaire d'étude personnalisé gratuite afin que notre partenaire spécialisé en investissement immobilier vous envoi une étude personnalisée gratuite

Réduire ses impôts en se constituant un patrimoine immobilier

29/11/2012 16:38

Gros contribuable, vous tremblez devant la disparition des niches fiscales. Comment, en 2013, réduire votre impôt sur le revenu ? Certains dispositifs fiscaux applicables à l’investissement immobilier pourraient vous séduire.  

La loi Duflot est le tout nouveau dispositif qui vient remplacer la loi Scellier dès le premier janvier 2013. Il concerne les résidences neuves destinées à la location de logements sociaux. Les investisseurs particuliers peuvent prétendre à une réduction d’impôt de 18 % du prix du bien sur une période de 9 ans.

Ceux qui préfèreraient les logements anciens pourraient choisir d’investir avec la loi Malraux. Celle-ci existe depuis 1962 et aide les propriétaires de biens immobiliers revêtant un intérêt architectural. A condition que l’immeuble soit situé dans une zone définie et destiné à la location, ils bénéficient d’un soutien pour certains de leurs travaux de restauration. Ils peuvent ainsi prétendre à une réduction d’impôt de 22 à 30 % des travaux effectués, dans la limite de 100 000 euros par an. Un danger avec ce choix : le coût des travaux.

Sachez que les autres niches fiscales de l’investissement immobilier : Girardin industriel, Censi-Bouvard, Scellier, etc. sont appelées à disparaître. A moins d’investir avant décembre 2012, vous ne pourrez donc en bénéficier. 

Si vous vous lancez dans l’immobilier en 2013, prenez le temps d’examiner les dispositifs, le bien, etc. afin de réussir votre investissement. Si vous y arrivez, vous pourrez non seulement réduire vos impôts mais également obtenir un complément de revenu généré par les loyers.

Pas d'abattement en 2013 sur les prélèvements sociaux des plus-values immobilières

31/10/2012 16:12

Les plus-values immobilières sont actuellement soumises à l'impôt sur le revenu au taux forfaitaire de 19% auxquel il faut ajouter les prélèvements sociaux au taux de 15,5% soit une imposition totale de 34,5%.

Un abattement supplémentaire de 20%

Le projet de loi de finance pour 2013 n'a pas modifié ces taux, cependant le gouvernement à proposer d'appliquer un abattement de 20% sur la plus-value en complément de l'abattement pour durée de détention. Cet abattement supplémentaire ne s'appliquera pas aux prélèvements sociaux.

Le gain fiscal est donc finalement de 11%

 

L'investissement locatif en 2013

23/10/2012 11:14

Vous hésitez à investir dans le locatif pour 2013 ? Ne craignez rien !
Vous vous demandez peut-être pourquoi il est important d’investir dans un bien immobilier à but locatif ? La réponse se donne en un mot : « Economies ».

En effet, il ne faut pas voir l’investissement locatif comme une source de revenus, mais comme une source d’économies.
En investissant, vous bénéficierez de considérables baisses d’impôts, incitant à investir dans des logements destinés à la location. Ainsi, la loi qui remplacera la loi Scellier devra, en tout état de cause, motiver les propriétaires à investir.
Non seulement, en effectuant un investissement locatif, vous rembourserez votre crédit avec les loyers perçus, mais la baisse des impôts vous apportera de nouveaux revenus.
En 2013, certaines nouveautés sont à attendre. Les réductions d’impôts à venir sont de l’ordre de 18%. De plus, des aides écologiques vous seront proposées, notamment sur l’isolation et/ou le changement de chaudière.
Des plus-values immobilières seront peut-être aussi sujettes à exonération, comme en 2012, pour la résidence principale, ainsi que pour un bien dont vous êtes propriétaire depuis plus de 15 ans.

Par Cécile M.
 

Programme LMNP Reims Gare - Frais de notaire offerts

26/09/2012 09:34

Offre Exceptionnelle sur le programme "Séjour & Affaires" de Reims Gare commercialisé par Valority

Pour tout contrat signé avant le 19 octobre 2012, les frais de notaire vous sont offerts*

 

* Sont compris les frais d'acte hors frais liées à la mise en place d'un financement.
A partir du mardi 25 septembre 2012 pour tout nouveau client et contrat de réservation

Investir dans des résidences avec services

21/09/2012 15:42

Une piste intéressante de réflexion quand on souhaite investir dans l'immobilier est le statut de  Loueur Meublé Bouvard-Censi , ce dispositif permet de bénéficier de revenus prédéterminés.

Le statut LMNP Bouvard-Censi est intéressant en prévision de la retraite par exemple puisqu'il permet de maintenir vos ressources une fois à la retraite.

Parmis ces investissements dans des appartements meublés, vous pourrez préferer un investissement dans des résidences avec services pour étudiants ou des résidences avec services pour séniors.

Comment bénéficier du statut de Loueur Meublé Bouvard-Censi ?

Pour bénéficier de la réduction d'impôts lié au statut de Loueur Meublé Bouvard-Censi vous devrez vous porter acquéreur d'un appartement dans une résidence de tourisme classée, dans une résidence pour étudiants avec services ou d'une résidences avec services pour personnes handicapées ou âgées agrémenté du label Qualité.

Vous devrez ensuite louer votre bien avec un engagement de conservation de ce dernier de 9 ans minimum.

La loi Scellier 2013 ne sera pas

21/09/2012 11:16

C'est à noter, le 31/12/2012 la Loi Scellier n'existera plus, pour autant il est encore temps d'investir dans ce dispositif pour bénéficier d'une réduction d'impôts dès 2013.

De nombreux programmes immobiliers vous permettent de réduire vos impots jusqu'à 4 333 € (sur 9 ans pour un investissement immobilier de 300 000 €). L'important est de bien sélectionner le programme et la localisation immobilière du bien vendu.

Il est également primordial de trouver un partenaire qui pourra assurer pour vous la gestion locative du bien acquis afin de vous garantir la sérénité que vous êtes en droit d'attendre.